• Ils sont sauvés - Merci d'avoir répondu à ce SOS

     

    SOS un défaut de trésorerie met une association hors de soin de la part d'un cabinet vétérinaire

     

     

    « Le cabinet vétérinaire nous a annoncé que nous étions en cessation de soins jusqu’au complet paiement de nos arriérés. Nous n’avons pas cette somme, et nous ne pouvons pas cesser de soigner nos chats ! » 

     

    68€ / 3097€

     

    61 EUROS = LE PRIX D’UNE VIE

     

    VOUS POUVEZ LES SAUVER !

     

    Sophie, la présidente de l’Ecole du Chat libre de Caillerot est catastrophée. Son association est menacée de fermeture si les dettes contractées depuis janvier 2013 auprès du vétérinaire ne sont pas payées .

     

    Comment en est-on arrivé là ? 

     

    L’Ecole du chat libre Caillerot voit le jour en 2011, dans le village de La Caillère, en Vendée, le jour où sa fondatrice et actuelle présidente, Isabelle Paris, trouve dans ses écuries sept chatons abandonnés. En essayant de leur trouver un foyer, elle découvre que les chats errants prolifèrent dans le village, sans soins, sans nourriture, dans la misère la plus noire et l’indifférence des autorités. 

     

    Depuis, l’association ne cesse d'utiliser les médias pour faire passer son message auprès du grand public : France 3, TV Vendée, RCF 85, journaux locaux.  

     

    L’association sensibilise et encourage le public à ses actions. Ses adhérents bénéficient de tarifs préférentiels afin de faire stériliser leurs chats. 

     

    L’ECLC place en famille d’accueil les chats qui lui sont confiés par des gens qui refusent l'euthanasie en fourrière, mais qui ne peuvent pas non plus les garder chez eux. Les chats sont soignés, identifiés, stérilisés, puis proposés ensuite à l’adoption. 

     

    L’association est aujourd’hui connue et reconnue dans la région. C’est tout naturellement que les habitants ont pris l’habitude de venir y déposer les chats abandonnés. Elle est devenue une véritable alternative à la fourrière, qui est assimilée à la mort.   

     

    En 2012, L’ECLC a signé une trentaine de contrats d’adoption, faisant ainsi adopter la quasi-totalité des chats recueillis. En 2013, le nombre des adoptions s’est maintenu, mais il a malheureusement fallu prendre en charge une soixantaine de chats. 

     

    Et les recettes des adoptions n'ont pas pu couvrir tous les frais engendrés...  L'association ne reçoit aucune subvention de la part des municipalité.  

     

    Plus de 89 stérilisations ont été pratiquées en 2013,
    ces interventions représentent un coût financier trop élevé.  

     

    Que faire ? 

     

    Changer de vétérinaire n’est malheureusement pas possible. L’association se trouve dans une zone rurale, où il y a très peu de vétérinaires.Trouver un autre vétérinaire est trop compliqué, cela engendrerait des frais de déplacements beaucoup trop importants, et ne permettrait pas à l’association de gérer les urgences. Le vétérinaire actuel propose à l’association des tarifs négociés, ce que peu de cliniques acceptent dans la région... 

     

    Il n’y a pas d’autre solution que de rembourser le vétérinaire. Stérilisations, test FIV, injections, médicaments, identifications… Pour sauver des dizaines de chats, l’association a cumulé de nombreuses factures depuis janvier 2013… Le montant total de la dette s’élève à 3097 euros, un montant bien trop élevé pour l’Ecole du Chat Libre de Caillerot… 

     

    Quelles sont les conséquences ? 

     

    « Notre disparition conduirait les autorités à procéder à des campagnes d’euthanasies sous la pression publique, lassée de voir ces animaux faméliques et blessés dans les rues. Nous avons besoin d’aide. » 

     

    Il est impensable que l’association ferme ses portes. Après tant de  campagnes de stérilisations, tant de combat gagnés, tant de chats sauvés, il ne faut pas abandonner. 

     

    Il est aussi question de la survie des chats dont l’association a la charge...

     

     

     

     

    SOS un défaut de trésorerie met une association hors de soin de la part d'un cabinet vétérinaire

     

     

    ROUCOULE, par exemple, a été maltraité par les enfants du village qui le prenait pour un ballon de football. Ils avaient pris l’habitude de lui donner des coups de pied. Heureusement, l’association a pu le recueillir et l'a proposé à l’adoption. Mais personne ne veut de lui. Pourtant, il est beau et adorable. Un chat comme celui-ci, sans la présence de l’ECLC, serait mort sous les coups. L’ECLC est sa seule chance... 

     

    SOS un défaut de trésorerie met une association hors de soin de la part d'un cabinet vétérinaire

     

    Il y a aussi, MURPHY sorti, comme une bonne trentaine d'autres chats, de chez un couple âgé qui s'était laisser déborder, et chez lequel la mairie, lassée des plaintes de voisins, voulait faire intervenir une fourrière. Il est arrivé à l'association avec une plaie sur la cuisse et des plombs profondément enfoncés à l’intérieur, impossibles à retirer. La blessure était une morsure infectée, ce qui valut à MURPHY plusieurs visites chez le véto pour des injections d'antibiotiques, et la mobilisation des bénévoles pour lui apporter des soins journaliers. 

     

    PHILOMENE est une chatte âgée de  10 ans. Vieille et diabétique, elle n’a  quasiment aucune chance d’être  adoptée. Pourtant elle a tant besoin  d'un foyer... 

     

     

    CROTOUNET est un autre chat en souffrance dont  les vertèbres de la queue se soudent entre eux.  Malheureusement, l’association n’est pas en  mesure de le soigner. 

    SOS un défaut de trésorerie met une association hors de soin de la part d'un cabinet vétérinaire  

    MURPHY, CROTOUNET, ROUCOULE, PHILOMENE ne sont que quelques exemples de chats parmi les 50 dont l’association a la charge aujourd’hui, et que personne ne veut. Ces chats sont trop vieux ou mal en point pour trouver une famille qui peut les accueillir. Ces chats ont continuellement besoin de soins. Sophie ne sait pas comment elle va faire pour continuer à les soigner, le vétérinaire ne veut plus s’occuper d’eux. 

     

    Sa trésorerie ne lui permet plus de les nourrir, de prodiguer les premiers soins. Sans votre aide, ces chats ne pourront plus être pris en charge. 

     

    Il n’est pas possible non plus de compter sur une aide extérieure, car les autres associations ou refuges de la région sont tous surpeuplés et rencontrent, eux aussi, des difficultés. 

     

    La fermeture de l’association serait également une catastrophe pour tous les chats errants de la région, et pour la ville de Caillerot. 

     

    L’ECLC a des obligations vis-à-vis de tous ses petits résidents, elle ne peut pas les abandonner. 

     

    Elle a besoin de vous en urgence. AIDEZ-LA à se battre pour ces chats ! 

     

    Vos dons et appels du cœur permettront à ROXY, ONYX, HATHOR, HERACLES, HENOUTMIRE, CRACHI, POUCET, ROUCOULE, PHILOMENE, HIBANA, MAX, ISIDOR, DAISY, HARMONY, HESTIA, MIMINE, GINGER, TOFFEE, PEPETTE... et tant d'autres de vivre !