SAUVONS LA TRIBU DE SAPEUR !

4000 EUROS SONT NECESSAIRES POUR REMBOURSER

SES DETTES LES PLUS URGENTES !

Alice, Présidente de La Tribu de Sapeur, que vous connaissez déjà, subit cette pression quotidiennement depuis trop longtemps.

Au bout du rouleau, elle ne sait plus quoi faire pour se sortir de cette situation dramatique, à la fois pour elle mais surtout pour ses 37 chiens qu'elle aime plus que tout au monde.

Que vont-ils devenir si l'association ne commence pas à rembourser ses dettes ? Aller en fourrière ? Se faire euthanasier ?

Alice, gênée de nous solliciter, pensait pouvoir se passer de l'aide de Clic Animaux. Mais elle en est arrivée à un point où elle n'a plus aucune autre solution que de s'en remettre à VOUS.

Découvrez vite son histoire très touchante et son combat en faveur des animaux.

Nous savons que vous ne resterez pas insensibles à son appel de détresse, Alice mérite tant d'être aidée !

Soutenez la Tribu de Sapeur et parrainez ses 37 chiens ! Un don régulier, quelle que soit sa valeur, est d'une valeur inestimable pour eux. Chaque jour, leur nourriture et leurs soins doivent être pris en charge. Merci ! Paiement 100% sécurisé - Aucun engagement - Modifiez ou suspendez votre parrainage,  quand vous le voulez.

Vous connaissez déjà l'association la Tribu de Sapeur. Grâce à vous, plusieurs de ses chiens ont pu être sauvés et soignés : GOMITTE, PRISCA, LINDA, NEC,SISI, KEATH, HERCULE, HULK, HAORI, HADES, VANILLE, BAMBY, WOODY,PAPY, DOUCE, VOLGA, MISS, HOMER, HADES, HERMES et GINGO.

Alice ne nous avait rien demandé depuis longtemps, car elle était trop occupée à sauver son refuge de la fermeture suite aux exigences de la DDPP. Malgré ses efforts et son acharnement, l'association est dans une situation très fragile.

Bonjour Alice, pouvez-vous présenter votre parcours aux clicoeurs ?

Parler de moi n’est pas chose aisée. En 2001, j'ai eu SAPEUR, mon chien, qui était âgé de 4 mois, avec mon ancien conjoint. J'ai découvert qu'il frappait SAPEUR. Il lui arrivait même d'avoir la main lourde sur moi. J'ai dû partir avec SAPEUR. Cette période a été très délicate dans ma vie. Nous sommes ainsi devenus très fusionnels avecSAPEUR, jusqu'à être inséparables. 

SAPEUR a aujourd’hui 13 ans et demi. Il est toujours présent, malgré le fait que nous ayons appris il y a un mois qu’il souffre d'une tumeur inopérable. Cela fait plus de 13 ans que nous sommes côte à côte, dans les mêmes combats.

SAPEUR, Alice et PACHA

De 2006 à 2008, j’ai été salariée à la SPA de Cabourg. Une belle période de ma vie où la directrice du refuge m'a tout appris. Elle a cessé son activité en juin 2014, étant âgée de plus de 80 ans ! J’aimerais être comme elle plus tard.

Je me suis rendue compte qu'il était impossible pour moi de vivre sans les animaux. Avec Alexandre, mon conjoint, nous avons donc trouvé la maison adéquate et fondé la Tribu de Sapeur en février 2009. La maison était inhabitée depuis 40 ans ! Nous avons dû faire énormément de travaux pour pouvoir y habiter et continuer d’accueillir des chiens en toute sécurité. 

Après énormément de travaux et d'efforts, la Tribu de Sapeur était née. Mais le combat ne faisait que commencer...

Quels problèmes rencontrez-vous actuellement ?

Il y a 18 mois, la DDPP - Direction Départementale de la Protection des Populations - est venue nous rendre visite. Suite à leur contrôle, les inspecteurs ont exigé une mise en conformité dans un délai très court. Cela consistait à déplacer l'ensemble de nos boxes 35 mètres plus loin, mais aussi à en construire des nouveaux, au vu du nombre de chiens.

Durant ces 18 derniers mois, nous avons travaillé comme jamais pour mettre le refuge aux normes et satisfaire aux exigences de la DDPP. Il a fallu entre autres déplacer la clôture et la rallonger. Même si les travaux ne sont pas encore finis actuellement, le dernier rapport d'inspection était très positif.

Nous avons reçu un avis favorable pour accueillir 31 chiens. Etant donné qu'entre temps de nouveaux chiens en détresse sont arrivés, pour arriver à un total de 40, nous avons demandé l'autorisation d'augmenter le nombre à 40. Notre requête a été acceptée, à condition que nous ayons 40 boxes à disposition. Il nous en reste 9 à construire aujourd'hui. Nous prévoyons aussi d'installer une infirmerie.

C'est une première victoire pour nous. Malheureusement, nous sommes loin d'être tirés d'affaire...

Alice et Alexandre, son conjoint

C'est-à-dire ?

Nous avons investi tous nos fonds et toute notre énergie dans ces travaux pendant 1 an et demi. Si bien que durant tout ce temps, les factures vétérinaires se sont accumulées sans cesse. Aujourd'hui, le vétérinaire nous relance régulièrement pour solder notre dette. Mais nous n'avons plus rien... Nous n'imaginons pas pouvoir le perdre du jour au lendemain, ce serait un vrai désastre pour nous et nos chiens...

Y a-t-il un risque de fermeture de votre association ?

Une chose est certaine : cette situation ne peut plus durer. Si nous ne trouvons pas rapidement des fonds pour commencer à le rembourser, l'avenir de l'association sera très sérieusement menacé. Certains commencent même à nous menacer de recouvrement...

Cette situation m’angoisse de plus en plus et me rend malade, je suis épuisée. Mais il n'y a aucun répit pour nous : les 37 chiens qui occupent le refuge demandent un travail énorme !

Si nous fermions, l’avenir de nos chiens serait très incertain. Ils iront en fourrière, et je ne donnerais pas cher de leur peau. Beaucoup seraient euthanasiés, car ils ne pourraient pas être placé en famille.

Pouvez-vous nous expliquer votre quotidien ?

Je suis toute seule 4 jours par semaine, même s'il m'arrive de travailler certains soirs en dehors du refuge. Mon conjoint, Alexandre, travaille à l'extérieur, et est présent ici 3 jours par semaine. Nous faisons les travaux depuis 18 mois pour la mise en conformité du refuge. Nous avons appris la maçonnerie tous les deux pour nous en sortir sans avoir à payer de la main-d'oeuvre.

Le reste du temps, je suis seule à m'occuper de 37 chiens. Parmi eux, nous avons des "cas difficiles" : certains sont sourds, d'autres ont des malformations aux pattes. Il y a aussi plusieurs chiens malades qui demandent des traitements quotidiens. Certains attendent des interventions chirurgicales et d'autres sont cours de sociabilisation. Pour chaque visite vétérinaire, je dois faire 51 kilomètres aller-retour.

Vous n'avez pas de familles d'accueil et adoptives pour vous aider ?

Nous avons en effet 6 chiens qui vivent en famille d'accueil. Nous sommes peut-être un refuge pour braques et chiens de chasse principalement, mais nous mettons un point d’honneur à ne JAMAIS les replacer chez des chasseurs. Nous voulons que nos chiens ne soient que de bons chiens de compagnie. C’est pourquoi nous faisons très peu d’adoptions, car les gens ne connaissent pas forcément les braques pour être des chiens de compagnie et vivre en maison.

Quels sont vos sauvetages les plus marquants ?

Je n'oublierai jamais MEXICO. Nous avons sorti ce braque allemand de 2 ans d’une fourrière. Il souffrait d'une gale qui n'avait probablement jamais été soignée, ce qui explique son manque de poils. Il est arrivé dans un état terrible chez nous. Il lui a fallu énormément de temps pour se rétablir grâce à nos soins. Ci-dessous une photo à son arrivée. Il était affamé.

ULYSSE, vieux braque allemand de 11 ans et demi, a été abandonné par son maître, un chasseur, il y a 3 ans. Je m'en souviens comme si c'était hier. Il avait mis un certain temps à prendre ses marques au refuge, mais y était finalement parvenu ! Une très belle histoire... qui s'est malheureusement terminée en juillet dernier. ULYSSE a déclaré un cancer qui l'a emporté rapidement... Je t'aime papy ULYSSE, ne l'oublie jamais !

Il y avait aussi CREVETTE, petit chiot de 6 semaines, qui ne mangeait toujours pas tout seul. J'ai dû lui donner à manger à la seringue. Le lendemain de la mort de papyULYSSE, CREVETTE est décédé à 3 mois. CREVETTE souffrait d'une malformation cardiaque. C'était un chiot très faible.

ULYSSE et CREVETTE étaient très proches malgré leur différence d'âge. Ci-dessous une photo d'eux en train de dormir ensemble :

FREE, setter blanc et noir, est devenu sourd à cause de son passé de maltraitance, confirmé par son ancien vétérinaire. Il souffre d'une infection intestinale qui nécessite un traitement quotidien à base d'antibiotiques et d'une alimentation spécialisée. C'est une charge financière très lourde, mais nous l'aimons beaucoup trop.

Je pourrais continuer cette liste encore longtemps, étant donné que nous avons sauvé environ 500 chiens depuis le départ... Tous m'ont marqué chacun à leur façon, qu'ils soient encore parmi nous ou partis trop tôt. Je les aime tous.

Financièrement, comment gérez-vous cela ?

C'est très difficile. Chaque mois, nous dépensons en moyenne plus de 2200 euros pour nous occuper de nos chiens. Entre la nourriture, la nourriture spécialisée, les frais vétérinaires, les soins et les produits de nettoyage, la note est énorme. Et je ne compte pas les factures d'eau, de téléphone et d'électricité que mon conjoint et moi prenons en charge sur nos comptes personnels.

Mais depuis 18 mois, toutes ces dépenses, que nous avons en temps normal du mal à assumer, se sont ajoutées aux frais pour les travaux de mise en conformité du refuge... Aujourd'hui, ce n’est plus possible. Tout cela joue sur ma santé, sur ma fatigue, et j’avoue être épuisée.

Heureusement que nous avons quelques donateurs réguliers pour nous épauler, même si leur précieux soutien est loin de suffire pour financer tous nos besoins. Quant à la mairie, elle nous octroie une subvention de 150 euros par an.

Comment avez-vous fait pour survivre jusqu'à maintenant ?

Nous avons essayé les adhésions et les parrainages. Nous organisons deux repas à thème et tombolas par an. Nous avons commencé à créer une petite boutique sur internet, mais ça ne marche que très peu. Nous avons aussi lancé le contrat croquette, pour lequel nous demandons une aide de 2 euros par mois par personne minimum pour payer le budget croquettes.

Ce qui fonctionne le mieux sont les repas, car les gens reviennent. Nous sommes de plus en plus au fur et à mesure. Mais cela représente aussi beaucoup de travail et d’organisation. Cette année, nous avons aussi organisé une porte ouverte pour l’anniversaire de SAPEUR. Nous avons eu plus de 50 visiteurs dans le week-end ! Nous faisons aussi notre « Noël des animaux » les 13 et 14 décembre prochains.

Nous essayons toujours d’innover, afin de nous faire connaître. Mais les "retombées" pour le refuge sont largement insuffisantes, nous manquons toujours de fonds pour subvenir aux besoins de nos protégés.

Aujourd'hui, nous avons atteint un point où on ne peut plus continuer tout simplement. Sans l'aide des clicoeurs, je n'ose imaginer ce qu'il va advenir de tous nos chiens.

Du fond du cœur, merci de ce que vous pourrez faire… Nous sommes désespérés, même si nous ne voulons pas baisser les bras !

Comment aider l'association : LA TRIBU DE SAPEUR

Je collecte
pour cette association

La Tribu de Sapeur se situe à Varaville dans le Calvados (14), en Basse-Normandie. Cette association est composée de 3 personnes jeunes, dynamiques et motivées.

Elle oeuvre sans cesse à la sauvegarde des chiens de race Braque, des chiens de chasse et des chiots de toutes races. L’objectif est de faire adopter ces chiens en difficultés en leur trouvant une famille d’accueil et en effectuant un suivi régulier.

Les dons à cette association ne donnent pas lieu à déduction fiscale.

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Contact

LA TRIBU DE SAPEUR
Les Grands Baux
Route de Caen
14390 VARAVILLE

Email : latribudesapeur2@yahoo.fr

Nous savons qu'Alice peut compter sur la grande famille des clicoeurs pour sauver son refuge !

Vos dons et Appels du Coeur permettront de régler les factures vétérinaires en attente les plus urgentes.

4000 euros sont nécessaires pour cela !

Merci à tous pour votre soutien !