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Article lu dans le Monde du 12 février 2014
Images prisent sur internet
Des éléphants abattus par dizaines de milliers pour alimenter les circuits clandestins de l'ivoire à destination de l'Asie. Plus de mille rhinocéros braconnés pour leurs cornes en 2013… En Afrique, le trafic des grandes espèces emblématiques ne s'est jamais aussi bien porté. Au point que les scientifiques n'hésitent plus à prédire la disparition de plusieurs d'entre elles.
Sur les « big five » – éléphant, rhinocéros, lion, léopard, buffle –, icônes de la savane africaine composant le prestigieux tableau de chasse décrit par Hemingway dans Les Neiges du Kilimandjaro au milieu des années 1930, seul le buffle échappe à la Liste rouge des espèces menacées, dressée par l'Union mondiale pour la conservation de la nature (UICN).
Depuis 2007, le nombre de rhinocéros braconnés pour leur corne a été multiplié par seize, l'unité se vendant environ 500 000 dollars (près de 370 000 euros) sur les marchés asiatiques. Si cette tendance se confirme, les populations de rhinocéros blancs et noirs, dont il reste au total 25 000 spécimens, pourraient commencer à décliner d'ici à deux ans, selon le scientifique Richard Emslie, coprésident du groupe de travail sur le rhinocéros africain de l'UICN.
« DES AIRES PROTÉGÉES QUI PÉRICLITENT »
L'Afrique du Sud, où vivent plus de 80 % des rhinocéros, est en première ligne. L'importance des moyens dont dispose ce pays, comparativement à ses voisins, n'a jusqu'à présent pas suffi pour contrer l'offensive des trafiquants, dont la violence des attaques dissuade désormais certains parcs de garder l'imposant herbivore.
Le moratoire sur le commerce international de l'ivoire, instauré en 1989, a été impuissant à protéger les éléphants. La situation est inégale sur le continent. Au Botswana, en Afrique du Sud et en Namibie, les populations de pachydermes continuent d'augmenter. A l'inverse, l'Afrique centrale, minée par les conflits, est le théâtre des plus grandes opérations de braconnage. En dix ans, le nombre d'éléphants de forêts a diminué de 60 % et un risque d'extinction existe à l'horizon d'une décennie.
A côté de ces crises « visibles » parce qu'elles portent des enjeux de sécurité régionale et mobilisent les pays occidentaux, d'autres se jouent en silence. Le lion est en train de disparaître d'Afrique de l'Ouest. Une étude publiée en janvier dans la revue scientifique PLOS-one indique qu'il reste à peine 400 individus présents dans cinq pays : Sénégal, Nigeria, Bénin, Niger et Burkina Faso.
Les confrontations de plus en plus nombreuses avec les communautés d'éleveurs sont à l'origine du déclin du roi de la savane. Comme partout sur le continent, dont la démographie va doubler d'ici à 2050, la compétition pour l'espace et l'accès aux ressources naturelles s'exacerbe. En Afrique de l'Ouest, où les gouvernements n'ont jamais porté beaucoup d'attention à la conservation, l'animal est rarement gagnant.
La détérioration de la situation politique et sécuritaire dans la bande saharo-sahélienne rend inaccessibles de vastes superficies du territoire. « Les aires protégées périclitent. Nous n'y avons plus accès, témoigne Julien Calas, du Fonds français pour l'environnement mondial. Mes déplacements sur le terrain relèvent de plus en plus du reportage de guerre que de missions d'appui à la biodiversité. »
Dans l'est de la République démocratique du Congo, théâtre récurrent d'une guerre civile, il y a longtemps que les parcs nationaux, tel celui des Virunga, servent de lieux d'approvisionnements en viande de brousse et de réservoir de faune commercialisable
« Toutes les populations de grands singes à l'exception des gorilles de montagne sont en déclin, rappelle Sabrina Krief, du Muséum national d'histoire naturelle. Les réseaux internationaux remplacent le braconnage de subsistance. »
« CRISE DE LA VIANDE DE BROUSSE »
Cette pression sur les grandes icônes du continent masque-t-elle un effondrement plus global de la faune ? Pour Jean-Christophe Vie, directeur adjoint du programme sur les espèces de l'UICN, la réponse fait peu de doute : « C'est la partie visible de l'iceberg, derrière, les autres espèces diminuent aussi. »
Ce que les ONG ont baptisé « crise de la viande de brousse », pour désigner ce prélèvement excessif qui déstabiliserait les écosystèmes et aggraverait l'insécurité alimentaire, reste cependant très controversé. Selon le chercheur Christian Fargeot, qui vient de consacrer sa thèse à « la chasse commerciale en Afrique centrale », rien n'étaye sérieusement cette thèse.
« L'Afrique n'est pas une entité uniforme. Derrière un échec de la conservation qui peut apparaître global, il existe des expériences réussies comme en Namibie, où la protection de la faune est aussi un projet de développement », met en avant Philippe Chardonnet, directeur de la Fondation pour la protection de la faune sauvage.
« Le braconnage prospère sur la pauvreté, insiste-t-il. Le monde de la conservation, en utilisant trop souvent la coercition pour protéger la nature, s'est fabriqué des ennemis. En Afrique, les grands espaces vont se raréfier. C'est inéluctable. Mais la disparition de la grande faune n'est pas une fatalité, à condition que les populations tirent un avantage de cette cohabitation. » Une question reste à résoudre : qui est prêt à financer la cohabitation des hommes avec les « big five » ?
Article pris dans le Monde du 12 février 2014 – par Laurence Caramel
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Pas seulement en cliquant il faut une aide permanente
des bonnes volontés qui chaque mois pensent
que ces animaux sont toujours livrés à eux mêmes
et les alertes successives de cette association touche mon cœur
alors pourquoi pas le votre ?
Aujourd'hui c'est 8 000 euros qu'il faut pour sauver l'association
mais demain il faudra toujours penser qu'elle peut avoir besoin de nous
Diane et Chris, les fondateurs de l'Association d'Assistance aux Animaux du Caillou (AaaC) en Nouvelle-Calédonie, sont au bout du rouleau. Les vétérinaires ne veulent plus soigner leurs animaux et les finances de l'association en sont arrivées à un point catastrophique.
ILS SONT LOIN DES YEUX DE TOUS.
SEULS, DANS LA BROUSSE, A LUTTER CONTRE DES PRATIQUES BARBARES.
TOUS LES JOURS, CE SONT 500 CHIENS ET CHATS QUI LES ATTENDENT, ET QUI VIVENT GRÂCE A EUX.
ILS SONT LOIN DES YEUX, MAIS PROCHES DE NOS CŒURS.
NE LES ABANDONNONS PAS !
« AIDEZ-NOUS A SORTIR DE CETTE PASSE… A EVITER LA FAILLITE.
ET LA DISSOLUTION DE L’ASSOCIATION. »
IL FAUT TROUVER 8.000 EUROS AVANT FIN FEVRIER !
VOUS POUVEZ LES SAUVER ! MERCIMerci à tous pour votre soutien ne nous oubliez pas
car la situation est encore très difficile à gérer
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Il va désormais pouvoir vivre une vie tranquille Merci à tous
SCOOT A VECU DANS UN POULAILLER AVEC 6 AUTRES CHATS
Le malheureux avait été recueilli par une vieille dame avant d’être pris en charge par l’association Chats du Quercy.
Cette dame tenait un refuge insalubre où s’étaient entassés plusieurs animaux.
Les bagarres, les morsures, les coups de griffes et les épidémies... c'était ça, son quotidien.
Le pauvre vivait avec 6 autres chats dans un poulailler, en guise de logis.
La promiscuité des lieux rendait l’entente difficile entre les chats. SCOOT a été le souffre douleur des autres...
Lui qui était si gentil, n’arrivait pas à se défendre.
Par chance, il a pu survivre à ces conditions horribles, ce qui n'est pas le cas de tous.
A la mort de la vieille dame, SCOOT a été confié à « Chats du Quercy ».
Les bénévoles n’en croyaient pas leurs yeux. Le pauvre animal était complètement défiguré.
Il ne ressemblait pas du tout à un chat.
Il avait une tête énorme avec de profonds abcès à la tête.
Il avait des plaies ouvertes sur la totalité du corps.
Il souffrait tant qu’il refusait les caresses.
Les bénévoles ont dû s’armer de beaucoup de patience et d’amour.
Aujourd’hui, SCOOT va mieux. Les bénévoles se félicitent de ce sauvetage inespéré.
Mais il a encore besoin d'aide.
Malheureusement, l’association ne dispose pas des fonds nécessaires pour régler les frais médicaux.
L’équipe n’a pas pu réunir le montant des soins.
C'est pourquoi, elle sollicite votre générosité.
Sans ses soins, SCOOT serait sans doute mort.
Vos dons et appels du cœur permettront de financer :
•les tests FELV/FIV
•la castration
•les médicaments
Le montant total des soins s’élève à 317 EUROS
Merci à tous !
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Semaine du lundi 10 février au Dimanche 16 février 2014 Entrée Arrét clic En cours à Adopter Décès Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche Sur aideanimaux.com 10 11 12 13 14 15 16 Hanis Chien est à 3,60% Blanco Chat est à 68,13% 69,03% 69,69% Nougat Chat est à 49,61% 50,49% 51,15% Ixina Chat est à 53,48% 54,04% 54,60% Diabolo Chat est à 76,93% 78,53% 80,49% 7 Chiots à sauver Chiens est à 36,57% 37,24% 38,05% Shanna Chat est à 33,16% 34,14% 34,85% Alyla Chat est à 23,38% 24,21% 24,85% Blue Chat est à 38,80% 39,70% 40,60% Etoile Chat est à 23,05% 23,55% 24,07% Milady Chat est à 9,89% 11,38% 12,27% Sur actuanimaux.com 10 11 12 13 14 15 16 est à 30 Chats en danger de mort chats est à 23% 29% 42% Ninon Chat est à 37% 37% 46% 100 chats chats est à 91% Clics terminés à adopter Carbonne et Angel Chats est à 21% 22% 24% Roméo Furet est à 39% 41% 42% Léo Chiens est à 48% 54% 55% Mac Chiens est à 24% 24% 26% Dandy Chiens est à 27% 29% 30% Napoléon chat est à 48% 49% 51% Pounette Chien est à 73% 74% 75% Haribo Chats est à 51% Clics terminés à adopter Jessi et Jojo chats est à 48% Clics terminés à adopter Vainqueur Cheval est à 63% 64% 73% Haustin et Hardy Chiens est à 99% Clics terminés Non adoptable Toumaï Chien est à 0% 2% Plum (petit chat martyr) Chat est à 3% 19% Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi Samedi Dimanche Sur clicanimaux.com 10 11 12 13 14 15 16 est à est à est à Suni éléphant est à 92% 93% Clics terminés Honoré & Olympe Chats est à 98% Clics terminés Animaux décédés Garou Chien est à 21% 29% 36% Chance & Chanceux Chats est à 78% 97% Amour enfance animaux Chevaux est à 65% 75% 76% Inondations Chevaux est à 63% 70% Clics terminés Sauvetage terminé Prince Chien est à 89% Clics terminés Eureka Chien est à 7% Clics terminés 500 chiens et chats Chiens & chats est à 8% 53% 64% Scoot Chat est à 11% 54% 54%
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